You just can't buy illusions

20 junio 2010

Filosofía personal.

1# Solo porque vos no le hagas nada a la gente, no quiere decir que la gente no te vaya a hacer nada a vos.
(Porque cada individuo es diferente. Ese "por qué me hacen esto?" guardarselo en el bolsillo. Ahora, si bien cuando nos vienen las maldades nos frustramos, las bondades inesperadas siempre dejan algo cálido dentro nuestro, hay un lado positivo)

2# Siempre que hagas algo, la gente va a tener diferentes reacciones, una puede ser el plagio. Así que, siempre poner tu firma, por más insignificante que parezca lo firmado. (La firma no siempre ha de ser un gancho)

3# Esperar cualquier cosa de cualquier persona. (Aunque dejar un margen de sorpresa no está mal, muchas de estas resultan agradables)


G. (vease regla 2)


Qué es esto? Bueno, si Murphy tiene leyes, yo quiero mis reglas. Nada muy original claro, son cosas que le saco a la vida, pero es un gusto que me doy. Y claramente, esto no acaba acá.

07 junio 2010

Veo nuestras fotos, tantos momentos, tantas caras... pero solo veo rostros, simplemente eso y no significan mas, no hay nadie detras. No me dicen nada, ni tienen nada q ocultar. Me pregunto cuando fue q pasaste a ser solo un rostro mas...?



(R.V)

01 junio 2010

Je rêve encore !


Oh, mon amour, il ne faut pas me laisser
Sombrer toute seule, quand vient la nuit,
Dans les bas-fonds les plus retirés
De ces rêves, où je t'oublie.
Oh, mon amour, ne me laisse pas
Rêver de toi, quand je m'ennuie
Car un autre vient m'arracher à tes bras
Et me jeter sur un lit de perles.
Mais je n'veux pas de cet homme -là,
Ni de ce lit qui me sourit
Et toutes ces perles qui tombent à terre
Ca me fait peur, j'ai peur, oui,
Mais je rêve encore

Il ne faut pas me laisser
Sombrer toute seule, quand je m'ennuie,
Dans les bas-fonds, les plus secrets,
De ces rêves où je t'oublie.
Oh, mon amour, ne me laisse pas
Me faire exécuter par ce soldat
Qui s'apprête à percer ma poitrine
De trois toutes petites balles en fer blanc.
Mais il s'approche lentement de moi
Et il décroche un grand coutelas
Qu'il plante en moi, dans mon coeur qui bat,
Ca me fait peur, je meurs, oui,
Mais je rêve encore...

Il ne faut pas me laisser
Sombrer toute seule, quand vient la nuit,
Dans les bas-fonds les plus retirés
De ces rêves, où je t'oublie.
Oh, mon amour, viens avec moi
Dans mon sommeil, je t'ouvre les bras
Pour que tu m'y rejoignes enfin,
Au creux de mes songes de petit matin.
Et même si tu te noies dans la mer,
Un éléphant volant, fendant l'air,
T'apporte à moi, quand les chiens aboient,
Te voilà dans mes bras, te voilà
Mais je rêve encore...

Oh, mon amour, il ne faut pas me laisser
Sombrer toute seule, quand vient la nuit,
Dans les bas-fonds les plus secrets
De ces rêves, où je t'oublie.
Oh, mon amour, toi, n'oublies pas
Oh, non, n'oublies pas de veiller sur moi.
Car à force de rêver toute éveillée,
Il faudra bien me rêver, oui, me rêver,
Oui, me réveiller.